16 février 2017 à 15:10
[REVUE DE PRESSE] - Unis pour le meilleur et pour le football (JDC du 16/02/17)
Vingt-cinq ans de vie commune. Vingt-cinq ans de passion commune. Aussitôt mariés, aussitôt complémentaires sur les terrains de football. Catherine, à l'intendance et au service des joueurs. Daniel, comme joueur et formateur de la JSM Football. Leur deuxième famille qu'ils partagent également avec leurs deux filles, Cindy et Bélinda.
Disponibilité
« En 1992, toute jeune mariée, j'ai suivi tout naturellement mon mari, joueur de l'équipe C. J'y ai pris beaucoup de plaisir. J'ai donc, tout aussi naturellement, signé, quelques années plus tard, une licence de dirigeante. » On la réclamait à différentes tâches dont la tenue de la buvette. Sa gentillesse naturelle et sa disponibilité ont fait le reste. Les jeunes savent ce qu'ils lui doivent. « Je m'occupe de leurs goûters chaque fois que nécessaire. Lors des plateaux, des stages ou pour Noël. »
Pendant ce temps, Monsieur continue à user ses crampons sur les pelouses. « J'ai débuté comme joueur de champ, arrière latéral, une blessure à un genou m'a fait entrer dans les cages. J'y suis toujours, en seniors et pour des compétitions Ufolep. »
Comme si ça ne suffisait pas, il est aussi éducateur pour les jeunes, des U6 au U13. Mais aussi arbitre auxiliaire. « Une façon de me rendre compte de ce que ça fait de siffler des fautes, moi le râleur impénitent » ! Une expérience qu'il met à profit dans les valeurs qu'il transmet aux jeunes. Depuis une saison, il seconde également Sébastien Flock dans ses fonctions de coach de l'équipe B. (erratum : Daniel entraîne l'équipe B depuis 5 saisons, ndlr)
Le couple fait aussi cause commune pour tout ce qui concerne les animations extra-sportives. Ce sont les rifles, la brocante et une présence sur place dès 5 ou 6 h, les tournois et… les troisièmes mi-temps. Un emploi du temps qui, hormis le lundi, est consacré, toute la semaine durant, au football ! L'après football ? Ils n'y pensent pas trop. Ce pourrait être la pétanque et la pêche. Mais rien ne presse !
Daniel Gonzalez,
Le Journal du Centre, édition du 16 février 2017
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